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Questions-Réponses de Jurisprudence |
Questions & Answers on Jurisprudence (Translated into English by Mr Taoufiq GAZOULIT) |
Energies renouvelables de l’Islam
7- QUESTION : Très cher frère, je me permets de vous écrire, dans le but de solliciter un avis éclairé concernant la Charia. En effet, désirant acquérir un logement pour moi et ma famille, je suis contraint, au vu de mes revenus, de solliciter un crédit avec intérêt, auprès d'un organisme bancaire. Ceci me pose un grave problème de conscience, car l'emprunt avec intérêt s'apparente ou, plutôt, est de la Riba, ce qui est illicite oua alyadou bi Allah. Toutefois, en l'absence d'un organisme islamique d'emprunt aux particuliers, conforme à la charia et à la sounna de Sidna Mohammed, je n'ai aucune autre alternative. Je me demande, alors, si la nécessité peut faire foi dans ce cas précis, sachant que je ne m'enrichis pas avec l'intérêt et le crédit que je contracte auprès de l'organisme bancaire, ou bien dois-je considérer que par mon geste j'encourage l'exercice de la Riba ? 7- REPONSE : En principe, le prêt à intérêt est prohibé, notamment dans le cas où il y aurait perte d'une part, et profit d'autre part. Car, dans ce cas, il y aurait un sentiment de spoliation. Mais, dans le cas où il n'y aurait que du gain pour tout le monde, quoique plus ou moins partiel, ce sentiment est amoindri. Je cite le cas d'un croyant qui empreinte une somme à une société garantie par une banque, il peut y avoir gain pour tout le monde, si l'intéressé peut obtenir un prêt conditionné par une prestation mensuelle, en tant que loyer, qui permettrait à ce prestataire- locataire de s'approprier le local, à la fin d'une décennie par exemple. S'il n'y a que gain chez les trois partenaires, le prêt n'est pas interdit, parce que comme dit Sidna Omar Ibn Khattab "l'islam n'est pas contre l'intérêt général, surtout si on constate que dans ce cas, il y a réellement intérêt général. Il y a une autre alternative, c'est celle d'un prêt sans intérêt selon la Charia, mais il faut bien analyser cette alternative, pour voir s'il n'y a pas perte et profit ou seulement un profit en fin de compte.
13- QUESTION : Qu'entendez-vous par la tradition de Médine ?
13- REPONSE : J'ai entendu par le hadith de Médine, la tradition des derniers jours de la vie de Sidna Mohammed passés à Médine. Ses pratiques quotidiennes équivalaient ou abrogeaient d'autres hadiths antérieurs. C'est là, la référence essentielle sur laquelle l'Imam Malik établit son rite et qu'il appelle la "tradition de Médine". En effet, le nombre des compagnons du Prophète qu'il laissa avant sa mort, ne dépassait pas 140.000 compagnons, la plupart éparpillés dans les environs de Médine ou plus loin, ailleurs. Les hadiths qu'ils pourraient rapporter, en l'occurrence, ne pourraient avoir la même authenticité que ces traditions pratiques de Médine.
14- QUESTION : Peut-on être Tijani et suivre le rite Malékite ?
14- REPONSE : Le Cheikh Tijani lui-même était de rite Malékite. L'Imam Malik considérait que le hadith (la tradition prophétique) authentique est son véritable rite. C'est pourquoi tout rite canoniquement valable est fonction des hadiths auxquels il se réfère. L'imam Malik ajoute pour concrétiser son "Madhab" le consensus des Oulémas à défaut de hadith, dans les cas éventuellement modernes, se basant particulièrement sur le hadith de Médine où le Prophète avait passé ses derniers jours.
21- QUESTION : Ai-je le droit dans le cadre de l'achat d'une maison de profiter d'un prêt à très faible intérêt que me propose mon employeur (qui équivaut à l'inflation soit 1% environ) ou est-ce totalement illicite ? 21- REPONSE : Si l'intérêt se monte même à 3%, il y a licéité pour certains. C'est à dire que l'interdit est alors éliminé parce que ce taux ne représente, au fond, que les frais généraux de la banque, en sus d'une inflation éventuelle.
22- QUESTION : Je suis à la recherche de la structure de lecture du Saint Coran en 3 journées (je crois que cela s'appelle Hizb) et je n'arrive pas à la trouver. Auriez- vous l'amabilité de me renseigner sur ce sujet ? en vous remerciant pour votre attention. 22- REPONSE : Je vous
conseille entre autres "AL QURAN AL KARIM", traduction et notes par le Dr.
Salaheddine Kechrid, Dal El Gharb El Islami, Maison d'édition Habib El Lamsi,
Beyrouth BP 113/5787.
30- QUESTION : Je souhaite
connaître la position de l'islam concernant le fait d'être affilié à l'assurance, dans le travail, est-ce prohibé ou pas ?
30- REPONSE : Quand
l'assurance est obligatoire dans une administration donnée, elle est imposée à
l'assuré, donc apparemment licite. Mais, quand il y a possibilité de s'en dégager, parfois
même au sein de certaines administrations, l'assuré doit refuser, à mon sens.
63- QUESTION : Par rapport à quel hadith pouvez-vous dire qu’on peut utiliser les
moyens modernes de contraception ?
63- REPONSE : La notion de
contraception telle qu'elle est conçue actuellement n'était pas connue à
l'époque, son mécanisme est tout récent. Mais, il y a un moyen qui était en
usage du vivant du Prophète, cité par un hadith authentique et qui s'appelle
"AZL" (rupture du coït). Ce hadith souligne que l'usage de ce moyen
contraceptif était en vogue, et fut légitimé coraniquement par omission. Le but
est le même : il s'agit d'empêcher toute fusion entre l'ovule et le
sperme.
73- QUESTION : Est-ce qu’un
Imam a le droit de baptiser un enfant hors mariage selon la charia? (Aix
en Provence, France).
73- REPONSE : L’enfant né
hors mariage légitime est considéré comme un enfant naturel non reconnu par la Charia.
L’Imam ne peut guère agir contrairement à ce principe, sauf dérogation spéciale.
77- QUESTION : Quelle est la viande halal pour le musulman? (Aix en Provence, France).
80- QUESTION : Quels sont les moyens de contraception que l'Islam conseille, tolère ou interdit (préservatif, stérilet...) ? 80- REPONSE : Le seul moyen préservatif ou contraceptif, du temps du Prophète, était ce qu'on appelait à l'époque le 'azl (rupture du coït). Des compagnons du Prophète le pratiquaient, alors. Mais avec la découverte de moyens contraceptifs modernes, tel le stérilet ou quelques autres moyens, tels certains comprimés spécifiques, la même légitimité est maintenue, car les moyens, qui visent le même but que le 'azl sont licites à condition qu'ils ne soient pas accompagnés d'autres méfaits pathologiques immédiats ou à retardement.
82- QUESTION : Dans quel
contexte le mariage par contrat (ou à durée déterminée), était-il
autorisé ? Peut-on de nos jours légitimer un tel mariage ? Sur quels textes
sounnites ou coraniques peuvent s'appuyer ses thuriféraires et ses
critiques ?
82- REPONSE : Le mariage
par contrat (ou comme vous l'expliquez) à durée déterminée, s'appelle
"nikah al moutaa" (mariage de plaisir). Il est prohibé, car il
n'accorde pas à la future mariée, tous les droits, dont elle dispose dans un
mariage légitime normal.
83- QUESTION : La question que je pose est de savoir si, pour éviter de tromper sa femme, avec qui on vit séparé (pour nécessité d'étude à l'étranger et dans l'impossibilité de l'amener avec soi), la pratique de la masturbation n'est-elle pas prohibée ? 83-REPONSE : La
masturbation est un attouchement des parties génitales, destiné à procurer le
plaisir sexuel. Elle s’appelle parfois «coït mental». Elle peut aboutir, à la longue,
à un état pathologique appelé « anaxisme », d’où sa prohibition par
87- REPONSE : La khitba (au lieu du khitab), est la demande en mariage en Islam. Elle doit se faire, en tout temps, et, peut même être consommée immédiatement, par le mariage si la fiancée est pubère. Autrement, tout accord peut être consenti même quelques années avant la puberté, comme ce fut le cas de notre Messager avec son épouse Aicha. Dans le cas que vous envisagez, rien ne s'oppose à une fréquentation anticipée du futur couple. Quoique pratiquement ce contact puisse présenter un risque, si les deux personnes ne tombaient pas d'accord et qu'il y eut entre elles certaines mutualités secrètes. L'Islam envisage un cas spécifique où les deux époux après même consommation du mariage, le contrat peut être résilié par l'un ou l'autre des deux époux, si un vice quelconque surtout biologique caché, se concrétise. Dans tout ce contexte, l'assise conditionnelle est la bonne foi des deux époux.
90- QUESTION : Un homme qui
a l'âge de se marier et qui n'a pas les moyens, et dont l'appétit sexuel
s'accroît de plus en plus, peu-il recourir à la masturbation pour éviter
de tomber dans la zina ?
90- REPONSE : Le Prophète a déclaré un jour : "celui qui a les moyens de se marier, qu'il se marie, sinon il doit observer le jeûne, c'est un frein pour lui ". Le secret de cet ordre est que le jeûne l'empêche de procéder à toute vision qui renforce son sex-appeal. Dans le cas où le croyant serait déjà marié, la question posée au Prophète ; à cet effet par le compagnon Abou Horeira, le mit en colère, en lui disant : castre-toi, si tu ne peux pas te maîtriser ! ".
92- QUESTION : Je suis
mariée depuis près de 15 ans et mon mari ne s'occupe d'aucune charge familiale.
Il ne s'occupe de rien à la maison, notamment financièrement. J'ai demandé
conseil à un imam, qui m a répondu que je devais lui parler, pour qu'il m'accorde
le divorce. Mais, lui refuse. J'ai demandé à l'imam quelle autre solution je
pourrai avoir. Il m'a répondu, la justice. Moi, je souhaite divorcer, pour en
finir avec toutes ses contraintes, et refaire ma vie. J'ai trois enfants, et, ils
ne veulent pas rester, non plus. Je ne dis pas que mon mari est méchant, bien au
contraire; maintenant, il est plus calme qu'auparavant. Il fut un temps où il me
battait, mais, c'est du passé. Le problème, maintenant, c'est qu'il ne veut pas
m'accorder le divorce, que ce soit à l'amiable ou par voie de justice.
Pouvez-vous me conseiller ? 94- QUESTION : Est-il
obligatoire de porter la barbe ?
102- QUESTION : Les objets d'art, les statues, il y en a qui disent
que c'est totalement prohibé. Il y en a qui vont jusqu'à dire que les photos
sont interdites. Il y a d'autres qui disent que le Prophète (PSL) l'avait
interdit, car les Mecquois adoraient ces statues. Est-ce toujours
interdit, si on les utilise pour embellir sa chambre ? Pouvez-vous
m'éclaircir sur ce sujet ?
105- QUESTION : J'ai deux questions à vous poser. 1. Coran et
Sunna : Voici mon avis, sur lequel je serai très honoré d'avoir vos
lumières. Il est clair que le Coran est la référence commune à tous les
musulmans. Un croyant croit forcément à la véracité du Coran et de son Prophète
Mohamed (SS). Il est, donc, évident que les paroles du Prophète (SS) sont
valides, ce qui est confirmé explicitement par le Coran (sans entrer dans le
sujet de la véracité de tel ou tel sahih). La validité du Coran et des dits du
Prophète (SS) implique qu'ils sont obligatoirement cohérents entre eux.
Toutefois, plusieurs pratiques suggérées par les hadiths ne sont pas mentionnées
dans le Coran, bien que n'étant pas contradictoires avec ce dernier. Mon avis,
sur lequel je souhaiterai avoir vos lumières, est le suivant: Le Coran serait
la seule référence de notre religion, dans un monde parfait, où l'homme est
épaulé de foi, d'objectivité et d'intelligence. Les hadiths du prophète (SS)
m'apparaissent comme étant l'ensemble des exemples illustrant et expliquant le
Coran, à la manière d'un professeur expliquant un cours à un élève qui n'aurait
pas su lire entre les lignes de son livre. 2. Fatalisme et responsabilité de soi.
Voici un sujet qui me passionne et qui me semble au confluent de plusieurs
thèmes. Il est évident que, si l’homme est jugé sur ses actes et sur le contenu
de son cœur, alors il est responsable et juge de soi. Toutefois, il est dit,
maintes fois, dans notre Livre sacré, que Dieu guide qui Il veut. Sans vouloir
paraître blasphématoire, cette phrase peut aisément conduire à des
comportements fatalistes, souvent observés dans nos cultures. Je me suis posé
cette question, car je me suis, moi-même, quelquefois surpris, dans des
situations où, au lieu de poursuivre mes efforts, je m’en remettais à des
explications fatalistes. J’en suis venu à la conclusion suivante sur laquelle
je vous demande encore lumières. L’homme doit, en tout temps, ne jamais douter de
la guidance de son Dieu, œuvrer dans le maximum de ses capacités, dans la voie
du bien, et enfin s’en remettre à Dieu. Bien que cette conclusion me semble
cohérente, certaines interrogations inhérentes à ce sujet, restent encore en
suspens : 1. Pour les hommes qui ne seraient pas sur la bonne voie,
pourquoi Dieu ne les guiderait- Il pas ? Dans ce cas, si Dieu décide de
les enfoncer, dans leur mauvais chemin, il me semble qu’il y a bien lieu de
parler de fatalité, puisque leurs actions, puissent-elles être dirigées vers le
bien, seront vaines. 2. Que répondre aux gens, qui, face aux atrocités et
injustices de ce monde, rétorquent : comment Dieu peut- Il laisser faire
ça ? Je m’excuse pour le caractère effronté que ces questions peuvent
porter, mais elles n’ont, en aucun cas, une vocation blasphématoire; c’est, au
contraire, une remise en question, afin de mieux comprendre, au même titre que le
doute objectif et constructif, est encouragé dans notre religion.
106- QUESTION : Pouvez-vous m’éclairer
sur la notion de la «HIJAMA» ?
108- QUESTION : Professeur, j’ai suivi, avec intérêt, votre participation à la table ronde du dimanche 28 décembre 2003 à la grande mosquée de Dakar. Pouvez-vous m’éclairer sur le sujet suivant : Il est interdit de faire des prières de sounna, après celle du sobh, et aussi entre la prière de l’après-midi, et celle du coucher du soleil. Certains disent qu’on peut faire la prière de salutation de la mosquée, pendant ces heures, car cette prière n’est pas du même rang que les autres prières de sounna. Qu’en est-il exactement ?
113- QUESTION : Je viens d'acheter un meuble, lors d'une vente aux enchères publiques, en France. On ne connaît pas le vendeur, c'est un commissaire au compte, qui tenait une assemblée de clients. Et, je voulais savoir si les ventes aux enchères étaient licites en Islam ? Sont-elles interdites ou, au contraire, autorisées dans notre belle religion ?
115- QUESTION : Je suis homosexuel et musulman, et je suis fortement attiré par la religion. D'ailleurs, j'envisage de prendre le wird tijani et quoique je fasse, je n'y peux rien, je suis attiré par les garçons, je me sens perdu vivant avec ce lourd secret, que je ne peux dire à personne, et plus que tout, j'ai envie de mourir, mais je crois trop en Dieu, pour me suicider; je souffre le martyre. Je vous demande de l'aide, pour voir plus clair.
124- QUESTION : En Turquie, les moules sont d'une part prohibées par les hanafites, et d'autre part, considérées comme
"makrouh" par les chaféites. Nous sommes confus. Quelle est la vérité
sur ce point ?
125- QUESTION : Je
bois et je fume, mais je suis très attaché à ma religion, et j'ai beaucoup
de foi. Puis-je réciter le Coran et d'autres dikrs ?
126- QUESTION : Qui
est le "kafir" ?
128- QUESTION : J'habite en Turquie depuis trois ans, et la loi dans ce pays veut que le loyer soit
augmenté de 30% tous les deux
ans. Faute de moyen, nous sommes obligés de déménager, tous les deux ans. Le
crédit logement dans notre cas, est t-il halal ?
130- QUESTION : C'est avec beaucoup d'intérêt que je découvre les articles que vous avez mis en ligne. Après la lecture de l'article "Comment s'organisait l'économie dans les sociétés musulmanes", je ne suis pas sûr d'avoir saisi toutes les conséquences pratiques de votre analyse, et sa perspective en termes de jurisprudence islamique. Les techniques financières modernes sont-elles entièrement justifiables, d'un point de vue islamique, du fait de la révolution technique, ayant transformé l'économie depuis trois siècles ? Sans doute, je veux bien admettre une lecture historique et contextualisée de la condamnation du Riba dans le Coran, cependant nous-voilà devant la démesure du capitalisme. Même si l'on doit renouveler notre compréhension du riba et de l'activité économique dans le monde moderne, l'avertissement divin n'est certainement pas abrogé par l'avènement du capitalisme... Ce phénomène propre au capitalisme repose sur l'asservissement de l'humain au prêt à intérêt et la soumission du vivant à la technique. La destruction de la société et de l'environnement par une production industrielle, sans autre objectif que la rentabilité maximale du capital, n'est-elle pas la conséquence logique du riba ? L'endettement des ménages et des gouvernements, pour des dépenses anarchiques et sans cesse croissantes, ne sont elles pas une aberration au regard de la fitrah ? L'équilibre individuel et social que la Shari'a a pour objectif de promouvoir, n'est- il pas mieux protégé, quand les individus coopèrent, sans endettement excessif, et modèrent leurs besoins à ce que la sagesse prophétique a désignée ? L'examen de cette question est, certes, complexe, mais il semble que la voie prise en Occident par les sociétés de culture judéo-chrétienne, en matière de légalisation de l'usure est une impasse dont le monde entier souffre aujourd'hui. Dans la réflexion sur l'avenir du monde moderne, la mondialisation et le capitalisme, la Révélation coranique et la Sagesse prophétique ont un rôle majeur à jouer. C'est à la communauté musulmane de relever ce défi. Pouvez- vous préciser votre analyse sur ce sujet grave et complexe ?
186- QUESTION : Concernant les prières où l’imam lit à haute voix, j’ai entendu, une fois, un imam, dire que quand il lit la fatiha et qu’il laisse un temps avant de lire une sourate, on peut en profiter pour lire la fatiha. Mais, par contre, s’il enchaîne tout de suite, on doit se taire et écouter. Une autre fois, j’ai entendu quelqu’un dire que, si pendant une prière, on ne lit pas la fatiha, cette prière n’est pas valable. J’aimerais connaître votre avis sur cette question ?
187- QUESTION : Je vous demande des conseils sur la conduite à tenir, car j'ai eu des songes, parmi les plus marquants. 1° : j'ai rêvé que le Coran était gravé dans mon cœur. 2°: j'ai rêvé qu'il faut que je préside (imam) la prière d'un groupe. 3° : je fais des rêves prémonitoires ?
193- QUESTION : J'aimerais savoir pourquoi la basmala de la prière est dite à haute voix, chez nous les tijanis, contrairement aux autres malikites qui la prononcent à voix basse ?
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